L’énigme de la formule « E=hν »

Comme un enfant, en entrant dans le monde de la recherche en physique comme amateur passionné, j’ai trébuché. J’ai écris un premier article maladroit que j’ai essayé de publier, sans succès. Tout aussi maladroitement, je l’ai publié en préprint sur proposition de l’éditeur MDPI, pour le faire connaître. Mais ce sont surtout les prédateurs qui s’y sont intéressés, sans succès, car dans une autre vie j’étais un spécialiste , entre autre, de la sécurité informatique.

Comme un enfant, j’ai appris de mes erreurs et j’ai grandis.

Cette fois j’ai trouvé un fait remarquable et indiscutable dans la démonstration sur la loi de Planck. Alors je l’ai reprise dans un nouveau paradigme et je vais tenter de publier une nouvelle version novatrice de cette démonstration. Il n’y aura pas de préprint.

Pour le moment je ne l’ai testé qu’en soumettant le titre et l’abstract au journal finder de Wiley. Résultat: Strong! et proposition pour le soumettre dans la revue « Advanced Materials ». Cela ne présume de rien, mais c’est encourageant. De toute façon je prends mon temps pour réfléchir à cette étape, avant de me lancer.

Ces questions qui m’interpelle:

L’énigme de la formule « E=hν »:

  1. Comment une énergie, équivalente à une énergie cinétique lors de sa rencontre instantanée avec un électron, peut être proportionnelle à une fréquence mesurée sur une seconde ?
  2. Comment expliquer la coincidence où la valeur de “h”, si on la prends comme une énergie en joules, quelle que soit la fréquence, correspond à l’énergie d’un cycle ?
  3. Comment ne pas voir que dans les deux formes de la loi de Planck on a un élément remarquable “λ-2” en face de l’unité système “m-2”?
  4. Etc…